2²6 LE RHIN ALLEMAND.mage: la tombe et le berceau du grand mo—narque réunis au mème lieu faisaĩient un beaucontraste! Les poëtes y trouvaient leur compte,ainsi que les cicérones.(Höélas! Monsieur, medisait Pun de ces derniers en m'ouvrant lesportes rouillées du Rathaus, nous mourronsde faim, si cela dure. II n'y a plus de visi-teurs; pourquoi Savise-t-on de nous retirerCharlemagne? Ne faut- il pas que tout lemonde vive! Le dernier gardien du tombeaua fait sa fortune en dix ans. Et moi 1..„Un geste désolé acheva sa phrase et memontra sa tunique en lambeaux, victime tou—chante des découveèrtes de la science.