Je n'oublierai jamais sa soeur, je la reepectu tous les jours, j'ai perdue en elle une bonne amie. Ce chateau a fuit son malheur, et il me parait qu'il donne ben des ambaras a son frere le Baron Conrad qui vient de me mander qu'il en tirera bien peu de chose, car tout le monde reclame des Hypotheques car ce bien. Il me parait que Henriette a aussi de grandes prétentions. Cette jeune personne m'a interessé a son sort, mais d'après les lettre de Conrad je vois quelle ne les merite pas, et quelle ne sait se fixer nulle part. Notre pauvre amie a eu tard de ne pas la laisser paysanne et quelle ignorat a jamais sa naissance, elle s'en ait bien repentée après mois il était trop tard. Elle me parait avoir de l'esprit, elle e'ent très bien, et sait manier l'en Hatterie aumoins avec moi: Dites moi si vous la connaissez? Le Comte Alfieri me charge de vous remercier de votre souvenir: et de le bonne opinion que vous avez de ses ouvrages. Il a partagé avec moi toutes les vicissitudes de la fortune que j'ai éprouvé depuis dix ans, et sans lui, sans sa prevoyance j'aurais été enveloppée dans les malheurs du 2 et 3 septembre 1792 il m'a fait partir de Paris a tems pour qu'en ne m'ait plus trouvé quand en est venue me chercher pour me conduire en prison ou probablement j'aurais péris. Ja lui ai cette obligation avec tant d'autres