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que le Baron me berne de belles promesses, et que je ne puis en tirer autre chose J'en suis excedee. Je ne puis vous dire combien de lettres j'ai écrit au Baron pour être payée des interets seulemnt il me doit sept années. Je m'étais fait une loi de lui écrire. tous les samedis et leur cela n'a servi a rien. Je suis persuadée qu'il a de l'argent mais ne veux pas s'en desaisir. Pardon de vous ennuyer si long tems de cette affire qui nous interesse l'un, et l'autre. Je ne puis assez vous suplier de solliciter l'avocat d'en finir pour votre tranquilité et la miene, et je puis vous assurer que ma reconnaissance en sera éternelle. Je tacherai de faire scavoir au Marquis Alberghetti ce que vous me mandez je m'imagine que vous voulez parter de Schneider qui selon la Mascige de la maison d'autriche d'aider des allies envoyer cei un vous lieutenant au lieu d'envoyer un homme fait, et de merite. Elle n'aurait jamais perdre l'Italie si elle avait sou seconder la bonne volonté des abitans, et leur haine contre les de ce pays. elle a mal recu a vienne les brass aretites qui s'etaient battu par leur souverain. Quels tems! Quel gens! et quel souverains! Mais aussi quel peuple il est seul bon, eclairé et illuminé. adieu monsieur le Baron Comptez a jamais sur mon attachemt et ma reconnaissance come je compte sur votre interet, votre honeteté je connais l'honneur d'un gentilhomme allemand .
Francais, c'est elle qui est la cause de tous les malheurs