le 2 aout 1803. Je viens de recevoir Monsieur le Baron votre lettre du 10 juillet, et je m'empresse de vous dire que je me suis tonfarus dentée que et y avait quelqu'un qui arretait mes lettres, et probablement les votres aussi. Je vous ai ecrit au moins 6 fois, et comme elles passaient par Lindau les Directeur aura eu une grande facilité a s'en empoiver. Vous n'êtes pas la premiere personne qui a un parent mal honete, et je vous plaurs des tout mon coeur d'autant plus que ce gent de lee dat est un mal incorrigible, et fuit Juire de lien mauvaises actions. J'aroue que j'ai été un peu ettonnée de ne plus avoir de vos nouvelles après avoir été si exacte toujours a me repondre. Je vous demande donc la continuation de vos somns pour mon ennuyenne affaire. J'ai sollicité l'avocat de vouloir bien agir avec vigueur contre mon créancier avec qui on ne peut pas fuire d'arrangement; car c'est un homme sans honneur qui ne serait pas fidèle a sa parole; mais l'avocat ne le connait pas, et et se laisse amadouer par lui, et ver digne fits. Je me rappelle que Mr de Wachter vous a ecrit il y a 6 mois que il allait vous payer Le C. Alfreri me charge de vous remercier, de votre souvenir. J'espere que mon filleul se porte bien. Si ho aucteris se sont partis a un excès de Sale C'ètait par haine pour des gens qui venaient les tromper en leur prenuttant la liberté, et qui ne voulaient que les julles et pour
amour pour leur bon souverain qui est encore porte bien