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Florence le 15 9bre 1803.
Je suis bien ettonnée Monseur e Baron de n'avoir plus recu de vos nouvelles depuis le mois de juillet quoique j'ai eu l'honneur de vous ecrire dans le mois de septembre après avoir payé 100 florins que vous aver tiré chez le Banquier de Lindau le 19 aout sans m'en ecrire un mot. Je m'imagine que les lettres se sont perdues, car il est impossible qu'après de m'avoir montré tant d'interet vous ne me donniez. plus signe de vie, et que vous ne me parlez plus de mes affaires avec le B de Wachter. Depuis le mois de 9bre je n'ai pais recu de lettres de Mr l'avocat Schneider qui me mandait que mon affaire devat plaidée le 13 d'octobre devant la Regence de Fribourg transplantée a Gurigen. Je me flatte que vous n'etes pas malade et je vous prie de vouloir bien me répondre, je ne conais pas pourquoi vous m'avez negligé cela n'est pas d'un bon allemand comme vous étes qui ont un caractere Constant. Je ne suis pas comne j ai la foree de vous l'ecrire ayant l'ame delhirée de la perte desribre que j'ai fait le 8 8bre de mon incomparable ami C. Alfieri. Je ne puis vous decrire l'état de mon ame, j'ai tout perdue ma Consolation mon sentient, ma solieté je suis la plus malheureuse Creature