reçu le 30 d'aout. 1838.
a Inzighofen le 26 aout 1838
Vous ne doutez pas Monsieur le Baron a quel peine jai partager vos malheurs, je puis dire que j'aimais Monsieur votre fils presque Comme un frère, la perte est lureu et pour vous, et pour moi, et pour mon fils qui le Sent tous les Jours Sa Malheureuse veuve, ne peut se Consoler depuis six semaines que je fais avec moi elle ne fait pas de progrès lus toujours les mêmes Regrets les mêmes lamens, mais aussi quelle porte pour elle le menage si parfait de part et d'autre, setois auquel de loucsoit le plus sem de tantes, quand a moi votre leillent fils m'était si attacher que j'aurais bien voulu partir de ce monde avant lui, ce qui etait bien probable, mais tous les chagrins me sont reservés et a trouver mes Jours si prolonger, Enfin il faut se soumêttre a son destin, je vous engage au même Courage nous allons demain avec Helen chez M de Venniard je l'y laisserais et apres elle compte aller chez vous Monsieur donc elle ne peut trop se louir recevez Monsieur le Baron l'assurance du Sentimen distingue que je vous ai vouée depuis long tems votres tres humble et devouée Princesse de Hohenzollern Sigmaringen née P.esse de Salm Kyrburg