Sur votre obligeance pour me faire Savoir si vous n'avez pas dans votre magnifique bibliothèques quelques livres anciennes sur ce sujet et pour m'en communiquer au moin les titres. Vous verrez si vous avez le loisir de lire la 1ère légende ci-incluse que je me suis servi, à peu près de tout ce qu'il y a eu d'ecrits sur le genie du Riesengebirge et que mon travail n'est pas seulement une servile traduction, mais plutôt un emprunt géneral fait a la croyance populaire. – Dès que les livraisons suivantes me perviendront je m'empresserai de vous les faire tenir en vous priant de les accepter comme une marque de ma considération, qui vous est acquise à si juste titre. Si ce n'est pas trop exiger de vous, Monsieur, veuillez bien me dire le plutôt possible ce que vous possédez principalement du Rübezahl et la Silésie , car mon travail est si avancé qu'il y en a une partie sous presse en ce moment. – Je termine cette lettre, Monsieur Baron, en vous offrant l'assurance de ma consideration très distinguée avec laquelle je suis Votre très humble serviteur Le Cte de Corberon P. S. Je saisis cette occasion pour vous recommander
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