de ses operations. Je ne puis assez vous remerecier Monsieur le Baron des offres obligeans que vous me faites de votre abitation qu'en me dit très agreable certainemnt que si j'allois en Allemagne je passerois expret par le pays que vous abitez pour aller vous remercier de votre bonté pour moi, et renouveller une connaissance qui me rappelleroit des souvenirs bien chers; mais bien douleureux; car je regrette de toute mon ame votre excellents tante et ma lindre amié. Elle m'avoit écrit quelle vouloit aller vivre avec vous, elle m'a fait votre éloge et je vois par votre lettre qu'il ait audessus de ce que vous méritez. Vors écrivez le Franceri comme ne vous étiez dans ce pays ou on ne parle que cette langue, et certainemnt on ne l'apprend pas ainsi sans avoir cultivé son esprit. Veuillez accepter de nouveau tous mes remerciemnts de votre bonté et l'assurance de ma reconnaissance pour la vie j'en dois au Baron de Malhan de m'avoir donné le courage de m'adresser à vous, et si même je ne reussis pas de m'avior procuré l'ocrassien de renouveller une connaissance avec une personne dont la famille m'a été si chere, et qui m'interessera toujours; soyez en persuadé ainsi que des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'être Monsieur le Baron votre très humble et obeissante servante Louise de Stolberg C. d'albany