le 28 fevrier à florence – le 24 fevrier – 1804. Je viens Monsieur le Baron de recevoir votre lettre de 6 fevrier, j'ai aussi recu celle du 20 janvier que vous m'avez envoyé par la Princesse de Furstemberg, mais celle du 26 ne m'est point parvenue. Je vous remercie de tout mon coeur de votre empréssement a me donner la nouvelle da la cession de la terre du Baron de Wachter au Roi de Dannemarck. Je crois comme vous que neus pourons la regarder comme bonne, ce moins quelle ne cache quelque nouveau tour de la facon ordinaire du Baron que n'y vous n'y moi ne pouvons encore deviner. Je vous prie de vouloir bien vous occuper de mon affaire et de faire pour moi tout ce que vous avoirez devoir faire pour vous même. Je ne puis assez vous dire combien cette affaire me tient a coeur, qu'il me suffise de vous faire scavoir que j'en destine la plus grande partie de cette somme qui m'est du a consacrer par un monument publie la memoire d'un ami que je pleure tous les jours depuis cinq mois – Je suis très fuchée de cette petite altercation que j'ai eu avec vous; tout a conspiré pour la faire naitre... qu'il n'en soit plus question, je vous en prie, et pardonnez moi d'avoir doutè un moment, non pas de votre probité(elle est a l'abri de tout soupxon) mais de votre inexactitude a me repondre – Permettez moi de vous mettre au courant de mes affaires ulterieures avec le Baron de de la reponse. Wachter, dans l'intervalle qu'il attendait du tribunal
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